Archive d’étiquettes pour : Eden

2024 : En avant !!

Bonjour à tous et bonne année 2024. Qu’elle vous soit prospère et généreuse.

Pour l’année qui vient de commencer et pour les douze mois à venir, je vais tâcher d’écrire, d’écrire et encore d’écrire.

En vérité, je n’ai pas couché une nouvelle histoire complète depuis 2016, soit l’écriture d’Eden. Et ce n’est pourtant pas les idées qui manquent.

Alors pour cette année, les objectifs principaux seront les suivants :

  • Promouvoir mes romans, surtout Rebelles et Eden auprès des libraires indépendants. Il me faut multiplier les points de vente pour atteindre et intéresser davantage de lectrices et lecteurs.
  • Participer à des séances de dédicaces, ce qui reste à ce jour le meilleur moyen d’intéresser et de fédérer un public littéraire (une première pourrait avoir lieu en février).
  • Participer au Prix des Auteurs Inconnus 2024, où j’y soumettrai Rebelles sorti en 2023, mais ne sachant pas encore dans quelle catégorie…
  • Participer et écrire pour des concours ouverts par les éditeurs, revues et blogueurs. Vous connaissez des concours ouverts prochainement ? Je suis preneur de l’information.
  • Écrire un nouveau roman. Ce sera une dystopie ou un roman noir, c’est que ça se bouscule dans ma tête.

Puis poster des articles sur mon blog, notamment toute une série sur le travail des couvertures et des designs de Rebelles.

Enfin, dans une moindre mesure, reprendre un peu le fil des sujets ludiques, comme faire de nouvelles aides de jeux, car la ludothèque s’est agrandit, et revenir à la peinture sur figurine avec plus 2 000 pièces en attente.

Voilà encore un programme chargé pour une nouvelle année pleine d’espérance et de confirmation.

2023 : le bilan d’une année charnière

Bonjour à tous

Pour commencer, et avec un peu de retard, bonne année à tous !

Voici le bilan de mon année 2023.
Alors que la plupart communique ce bilan dans les derniers jours de décembre, j’ai décidé d’attendre les dernières statistiques de ventes pour m’exprimer.

ROMANS

Dès le début de l’année était programmée la publication de mon roman REBELLES en deux parties plutôt conséquentes. Prévue en mars, quelques soucis chez mon prestataire pour l’impression à la demande m’ont obligé à communiquer officiellement qu’en avril, pour avoir une fiabilité de distribution qu’à partir de juin.

Cela a finalement coïncidé avec deux autres faits : les premières critiques, bonnes voire très bonnes (merci à toutes les blogueuses et blogueurs qui ont bien voulu lire ce monstre), et la première présence en boutique grâce au BHV-Le Marais (merci à Pascal et ses libraires).
Pendant l’été puis l’automne, d’autres très bonnes critiques sont tombées, puis mes romans ont été disponibles les derniers jours de décembre chez Gibert Joseph Paris (merci Mélanie) et FNAC Parly 2 (merci Gabriel).

Du côté des ventes, sur le dernier trimestre, j’ai vendu 10 exemplaires de Rebelles 1re Partie, 4 Rebelles 2e partie et 6 Eden.
Pour toute l’année 2023, j’ai vendu 17 Rebelles 1re Partie (dont 1 eBook), 11 Rebelles 2e partie (dont 1 eBook), 9 Eden et 3 Coqs.
En prenant en considération une médiatisation quasi inexistante, selon certains libraires, c’est une statistique honorable. Bien sûr, en tant qu’auteur, j’aurais préféré en vendre plus, me faire connaître davantage et multiplier les partenaires (chroniqueurs et libraires).

GRAPHISME

Toute l’activité s’étant concentrée sur le roman Rebelles. Les seules productions graphiques (GIMP; SketchUp; Inkscape; iMovie) furent les couvertures des deux livres et une vidéo promotionnelle.

LUDOPHILIE ET FIGURINISME

Bien que je joue régulièrement, toutes les travaux liés aux jeux de société sont à l’arrêt complet. J’accumule les retards.

Et c’est là que l’année 2024 devra être plus productive. Mais je vous en parlerai dans un prochain post.

Et vous, avez-vous réussi votre année 2023 ?

A très bientôt.

Un Coup de Coeur et un téléroman

EDEN & COQS

Avec la sortie de ma dernière publication, Coqs, qui a eu lieu le 25 mai dernier, je suis reparti à la chasse aux critiques afin de faire parler de ce roman. J’en ai profité pour proposer également mon précédent roman, Eden, publié fin 2018, afin de relancer un peu les ventes (une dizaine à ce jour).

Au cours de cette quête de critiques, de blogueurs et d’influenceurs, je suis entré en contact avec les lectrices du blog franco-québécois Les Milles et Une Pages LM et Lynda Massicotte fut enthousiaste de proposer ces deux romans à son groupe de lecteurs. Et c’est Martine Levesque qui partage ses impressions.

EDEN (2018) : Coup de Coeur à la conclusion extraordinaire

Lire la critique de @LesMillesEtUnePages

“Un excellent roman de science-fiction, dans lequel je me suis immergé, sans aucune retenue. La plume de Dominique Convard de Prolles est géniale, on plonge dans un récit qui nous rend difficile de lever les yeux de ses pages.
Adam et sa fille Bénédicte vivent dans une ville dite moderne, dans un contexte en haute sécurité où tout est surveillé et protégé, même leur maison donne l’aspect d’une forteresse. On plonge dans un Paris dans le futur, avec une communauté d’individus surprotégés de tout, rien ne peut les attaquer, tout est impénétrable, une fortification. Les habitants ont une vie réglée par des alarmes, des interdictions, des avertissements, une nouvelle dynamique de vie. Entre les couvre-feux, les sas de décontamination, tout est géré et programmé. Tandis que dans la vie d’Adam Evanoe, la perte d’un ami va tout chambouler sa vie qu’il croyait bien réglée et dosée, mais tout sera remis en cause. Que se passe-t-il à l’extérieur de “la nouvelle Paris” ?
C’est un roman très bien écrit qui met en scène des personnages marquants et attachants. La finale est fantastique, j’ai été conquise par une intrigue envoûtante, et enivrante qui nous amène tout au long des pages à une conclusion extraordinaire. “

COQS (2020) : Bien écrit et facile à lire

Lire la critique de @LesMillesEtUnePages

“Un roman qui met en scène une dynamique familiale qui doit se reconstruire et se solidifier après avoir traversé une épreuve difficile. Tout en suivant un journaliste qui doit cheminer vers le pardon, ce roman met en perspective les réflexions existentielles de tous les personnages face à sa place, ses attentes, ses désirs, ses besoins comme être humain. C’est un casse-tête, tout au long de la lecture, les mots que choisis Dominique Convard de Prolles, viennent toucher le lecteur et l’amène à poser une réflexion quant aux décisions que vont prendre les personnages. Le bouleversement de leur vie, va-t-il être une malédiction ou une bénédiction ?
Un roman bien écrit. Facile à lire, des personnages attachants et des intrigues qui maintiennent le lecteur tout au long des chapitres et du dénouement qui ne vient qu’à la fin et qui peut surprendre certains. J’ai bien aimé ma lecture, j’ai quelquefois eu l’impression que je suivais un téléroman, tellement puisque j’arrivais à m’imaginer les situations en images. J’aime quand un auteur arrive à créer des situations qui retournent les méninges, si c’est ce que vous cherchez, lisez COQS.”
Merci à Martine, Lynda et toute l’équipe de Mille et Une Pages LM.

Un plan d’enfer

EDEN

Pour mon roman Éden, il m’a fallu quelques préparatifs autres que le plan narratif. Contrairement à d’autres romans écrits des années plus tôt, je n’avais fait aucun croquis, aucun schéma, aucun dessin préparatoire, quand d’autres sont plein d’engins et de bâtiments. Au début, les choses étaient simples pour moi.

Toutefois, il a fallu rapidement se rendre à l’évidence : il manquait un plan de Paris, afin de pouvoir situer chaque action et chaque personnage.

J’ai donc usé de Gimp pour assembler, détailler et colorer un Paris dystopique.

En commençant par un calque d’un plan de la Forêt de Saint-Germain-en-Laye, j’ai divisé la carte en différents secteurs. Puis, j’ai tracé les rues et les monorails, et nommé les différentes stations. Enfin, j’ai utilisé des ombres et rehauts pour accentuer l’ensemble.

Quelques annotations pseudo légales parcourent le plan fictif d’une touche de réalisme. Pour finir, j’applique un effet froissé plutôt sympathique à mes yeux.

Les multiples calques qui composent ce plan imaginaire.

 

Première version de 2015

 

Modification tardive de la première version avec un fond blanc.

Finalement, après des années sans l’avoir revu et retravaillé, je trouve le papier jauni inadapté et que l’ensemble manque de netteté. De plus, la RATP venait de changer ses plans, ce qui m’a donné envie de mettre à jour ma carte fictive. Je me remets donc à la tâche peu de temps avant d’écrire cet article.

Je change le fond jauni pour un blanc classique. L’image est agrandie et retrouve son format d’origine. Tous les calques sont toilettés, améliorés en netteté et en contraste. Les noms des stations de monorail sont doublés de blanc. Quelques textes en bordures du plan, dont “Paris”, sont réécrits. Au final, deux versions sont éditées, dont une version “froissée”.

Nouvelle version créée en 2019, plus nette et plus claire.

 

La nouvelle version sous l’effet “froissé”.

J’espère que vous avez eu plaisir à lire cet article. N’hésitez pas à commenter, à partager sur les réseaux sociaux et à “liker”.

Au plaisir de vous revoir pour le prochain post.

PS : pour le curieux, mon roman est actuellement lisible au format numérique (un édition papier est en cours de travail). Vous trouverez les liens vers les distributeurs partenaires sur cette page, ainsi que le premier chapitre sur cette autre page.

Une couverture pour le Paradis

EDEN

Quand on décide de faire de l’autoédition, il faut savoir réduire les coûts au maximum. Et pour cela, quoi de mieux que de tout faire soi-même.

Dès l’écriture de mon roman Eden en 2015, j’ai déjà dans l’idée de faire une couverture à contre-courant de ce que le lecteur trouvera dans les quelques lignes apocalyptiques et tristes. Sans entrer dans les détails, le chaland doit être attiré par une image très propre et moderne.

Une fois le roman terminé au printemps 2016, je prends très rapidement mes crayons et commence à dessiner les trais grossiers d’une vue frontale sur une ville érigée de tours resplendissantes. L’idée est de produire l’équivalent d’un visuel de communication architecturale. Toutefois, après quelques centaines de coups de graphite noir, je ne me sens pas à l’aise avec le résultat griffonné. Je comprends que la répétition des lignes nécessite un travail plus industrialisé et l’outil informatique est la solution. Oui, mais lequel ?

Comme vous pouvez le voir dans des articles précédents, j’ai déjà bien tâté de la retouche photo et du photo-montage en utilisant Gimp. Mais cela ne suffira pas et je dois me résoudre à la conception 3D. Et là, bien m’en a pris. Après une recherche sur internet, je découvre SketchUp, un logiciel 3D dont le minima gratuit est déjà bien supérieur en fonctions à ce dont j’avais besoin.

Grâce à quelques congés, je prends une semaine pour concevoir pour de bon cette couverture. Après une journée de tâtonnement sur le logiciel, le lendemain je commence à produire une première étape. Un étage est assemblé, sans entrer dans les détail car tous les éléments ne seront pas visibles. Mais très vite je comprends une chose : il va falloir remplir toutes ces pièces exposées à la lumière et à la vue. Et il y en a une dizaine par étages, multiplier par vingt étages au moins, multiplier encore par je ne savais combien de tours.

Après une journée passée à chercher du mobilier modélisé, je comprends très vite que je vais passer ma semaine à remplir les appartements. De plus, je comprends très vite aussi que la quantité de réglages possibles pour gérer le rendu des surfaces consommera beaucoup de ce temps libre qui ne l’est pas. J’opte donc pour une solution radicale : la retouche photo.

Oui, de la 3D à la retouche photo. Et pour cela je vais user d’un stratagème simple inspiré des fameux fonds bleus puis verts des trucages visuels au cinéma. Ainsi toutes les surfaces auront une couleur spécifique unie et bien particulière. Le travail se fera ensuite sous Gimp. En conséquence, le travail se fait plus vite.

Un étage est définitivement prêt. Les étages s’empilent sur une base réduite. Un dernier étage est rempli de turbines et le toit est couvert de miroirs (je vous laisse lire le roman pour en connaître la raison). Puis les tours sont dupliquées et réparties en rang. Un métro aérien se glisse entre les habitations. Et comme toute belle présentation architectural et grâce aux compléments de SketchUp, j’ajoute des arbres et de la population.

Je construis ainsi ma conception 3D comme un décor de cinéma, ne remplissant que ce qui est visible, ne travaillant que ce qui est nécessaire.

Le décor dans son entier.

Le même, vu par dessus.

Après plusieurs choix de mise en lumière et de cadrage, je prends des photographies, corrige la conception 3D, puis sélectionne l’image à retravailler.

L’image avant retouche

Importée dans Gimp, l’image subit des remplissages de dégradés pour remplacer les couleurs criardes et unies. Bleu vers gris pour les façades des tours; blanc vers gris pour les miroirs; des bleus pour le métro et les quais. L’ajout d’un halo franc sur un miroir ajoute une touche de lumière excessive. Un ciel est incrusté pour apporter un peu de réalisme. Et voilà, avec un peu de bric et de broc numérique, l’image finale est prête pour diverses communications.

Je dois bien vous avouer qu’un professionnel de l’imagerie 3D, et encore plus un modéliseur dans un cabinet d’architecture, aurait su obtenir ce même résultat sans passer par l’artifice de la retouche photo. Malheureusement je n’avais pas le temps suffisant pour apprendre et maîtriser toutes les subtilités de SketchUp. Mais il est probable que par le futur je revienne sur SketchUp pour quelques illustrations nécessaires pour Rebelles, un roman en cours de relecture.

Mais revenons à Eden. A la vue de l’image définitive et pendant que le roman est en cours de relecture, je m’offre un premier teasing sur Facebook en produisant sous Power Point un faux flyer.

Les HLM du XXIIème siècle.

Dans la foulée , je m’attèle à la couverture. En dehors du titre et du nom de l’auteur, un premier concept en couleur est produit. Il faudra attendre l’été 2018 et les préparatifs du lancement définitif de mon roman pour que je revienne sur la couverture. Plusieurs concepts sont réalisés : simple, noir&blanc, flou, hachuré. Ci-dessous vous pouvez voir les cinq concepts retenus. Ma préférence allant plutôt pour l’image floutée en couleurs, tandis que ma vision originelle était plus proche du modèle hachuré.

Après un petit sondage auprès des relectrices, des relecteurs et quelques autres âmes, aucune couverture ne semble satisfaire. Le visuel est trop éloigné de que les lecteurs ont ressenti. D’autant plus qu’un avis en particulier exprime le côté “amateur” du visuel. J’en prends note et revois la couverture au complet. D’autant plus que ce nouveau visuel pourrait bien correspondre à ma ligne éditoriale pour l’intégralité de mes publications.

Je fais cette fois le choix d’une couverture blanche barrée d’une illustration. Je calibre donc les zones de texte (titre et nom de l’auteur). J’intègre le faux flyer promotionnel. Je le retravaille pour le rendre plus intriguant. Un test avec du sang, du feu et un dernier avec les deux.

Les tâches de sang ne plaisent pas, voire rebutent. Une nouvelle série est produite, plus sages et moins horrifiques.

Finalement cela est trop sage et un choix intermédiaire s’impose. Après des jours de réflexion, je choisis définitivement la couverture avec le flyer qui brûle.

J’espère que vous avez eu plaisir à lire cet article. N’hésitez pas à commenter, à partager sur les réseaux sociaux et à “liker”.

Au plaisir de vous revoir pour le prochain post.

PS : pour le curieux, mon roman est actuellement lisible au format numérique (un édition papier est en cours de travail). Vous trouverez les liens vers les distributeurs partenaires sur cette page, ainsi que le premier chapitre sur cette autre page.

 

Original, passionnant et frustrant

EDEN

 

2105, Paris. La ville reconstruite, éden ultra-moderne et paisible, offre à ses habitants une vie abondante et sous haute-sécurité. Tout ce qui devrait suffire à Adam Evanoé pour être heureux. S’il se contente des apparences… Car même au Paradis, les apparences s’effritent sous le poids des secrets.

Grace à Christelle Lebailly, auteur du très bon Lula et les Monstres, j’ai découvert le site Simplement Pro qui permet de mettre en relation des auteurs et des éditeurs avec des lecteurs et critiques.

C’est là que j’ai pu contacter Evasions Littéraires, qui a accepté immédiatement d’inclure mon roman dans sa PAL (sa Pile À Lire). L’intégralité de sa critique est à découvrir ici. Mais qu’en a-t-elle pensé ?

Cette critique date du 28 avril 2019 mais je ne reviens dessus qu’aujourd’hui suite à nouvelle idée éditoriale.

© Evasions Littéraires

“Autant dire, qu’il nous offre une histoire très originale avec un univers très bien pensé et avec des rebondissements comme on les aime, de quoi passer un excellent moment aux côtés des personnages qui sont touchants et très attachants.”

Merci de partager un tel ressenti. Cela prouve que j’ai atteint mon objectif : atteindre le lecteur.

“J’ai tellement de questions et tellement envie d’en apprendre davantage! Mais cette frustration caractérise aussi les bons romans… Alors y aura-t-il une suite?”

J’ai écrit ce roman avec une telle légèreté et avec un certain détachement que je n’ai jamais pensé à une suite. Toutefois la demande se répète parmi les critiques et les premiers lecteurs. Pour le moment, je me concentre sur d’autres histoires, mais qui sait après la publication de ses derniers, pourquoi pas.

Merci à Yumiko malgré son immense charge de lecture. Je vous invite à la suivre également dans ses autres pérégrinations littéraires, soit sur son blog, soit sur Facebook, soit sur Twitter.

Mon roman est actuellement lisible au format numérique (un édition papier est en cours de travail). Vous trouverez les liens vers les distributeurs partenaires sur cette page, ainsi que le premier chapitre sur cette autre page.

N’hésitez pas à commenter, à partager sur les réseaux sociaux et à “liker”.

Au plaisir de vous revoir pour le prochain post.

Une superbe découverte

EDEN

 

2105, Paris. La ville reconstruite, éden ultra-moderne et paisible, offre à ses habitants une vie abondante et sous haute-sécurité. Tout ce qui devrait suffire à Adam Evanoé pour être heureux. S’il se contente des apparences… Car même au Paradis, les apparences s’effritent sous le poids des secrets.

Parmi mes nombreux contacts sur Instagram, @les.lectures.du.crepuscule a demandé à lire mon roman. Dix jours plus tard, sa critique n’a pas tardée : fan de dystopie, ce fut pour elle une surprenante et superbe découverte. A lire en intégralité ici.

Cette critique date du 19 avril 2019 mais je ne reviens dessus qu’aujourd’hui suite à nouvelle idée éditoriale.

© Les Lectures du Crépuscule

“Dans ce récit on suit Adam Evanoé ainsi que sa fille Bénédicte dans une ville moderne où tout est contrôlé et sécurisé à tel point que chaque domicile citadin et devenu un bunker.”

“Alors que se cache-t-il au-delà des murs du nouveau Paris ?”

Pour cela, je me permet de ne pas répondre à la question, afin que chacun puisse découvrir mon univers et surtout celui d’Adam Evanoé.

Merci à Mathilde Gross pour m’avoir donné un peu de son temps. Je vous invite à la suivre également dans ses autres pérégrinations littéraires, soit sur son blog, soit sur Instagram, soit sur Twitter.

Mon roman est actuellement lisible au format numérique (un édition papier est en cours de travail). Vous trouverez les liens vers les distributeurs partenaires sur cette page, ainsi que le premier chapitre sur cette autre page.

N’hésitez pas à commenter, à partager sur les réseaux sociaux et à “liker”.

Au plaisir de vous revoir au prochain post.

L’effet Waouh !

EDEN

 

2105, Paris. La ville reconstruite, éden ultra-moderne et paisible, offre à ses habitants une vie abondante et sous haute-sécurité. Tout ce qui devrait suffire à Adam Evanoé pour être heureux. S’il se contente des apparences… Car même au Paradis, les apparences s’effritent sous le poids des secrets.

Je vous invite à lire la critique de @les_livres_de_pauline (en intégralité ici) et à la suivre également dans ses autres pérégrinations littéraires. Cette “bookstagrameuse” a accepté de se pencher sur mon roman d’anticipation, mais a surtout partagé son ressenti.

Cette critique date du 1er mars 2019 mais je ne reviens dessus qu’aujourd’hui suite à nouvelle idée éditoriale.

© @les_livres_de_pauline

“Ce livre nous plonge dans le Paris de 2105, et comment vous dire… WAOUH !

“Petit bémol, j’ai eu un peu de mal au début des deux premiers chapitres, à tout comprendre et visualiser mais une fois dedans, je n’ai pas pu m’arrêter.”

Ça fait plaisir à lire. J’ai fait mon possible pour décrire l’environnement de mon histoire car rien ne vaut une bonne immersion, notamment par la stimulation “visuelle” imaginée par le lecteur. Moi-même je suis friand de détails, grand lecteur un moment de Tom Clancy et de Michael Crichton, mais surtout aujourd’hui de romans historiques et de fantaisie.

Merci à Pauline pour son avis excitant.

Mon roman est actuellement lisible au format numérique (un édition papier est en cours de travail). Vous trouverez les liens vers les distributeurs partenaires sur cette page, ainsi que le premier chapitre sur cette autre page.

N’hésitez pas à commenter, à partager sur les réseaux sociaux et à “liker”.

Au plaisir de vous revoir au prochain post.

Une réflexion éthique et philosophique

EDEN

 

2105, Paris. La ville reconstruite, éden ultra-moderne et paisible, offre à ses habitants une vie abondante et sous haute-sécurité. Tout ce qui devrait suffire à Adam Evanoé pour être heureux. S’il se contente des apparences… Car même au Paradis, les apparences s’effritent sous le poids des secrets.

Après la sympathique critique de @lesreveries_de_mademoisellem, je vous invite à lire celle de @booksta_life.

Cette “bookstagrameuse” a accepté de se pencher sur mon roman d’anticipation et son avis m’a agréablement surpris.

Cette critique date du 24 février 2019 mais je ne reviens dessus qu’aujourd’hui suite à nouvelle idée éditoriale.

“Un excellent roman d’anticipation qui développe une belle réflexion éthique et philosophique tout au long du récit. Coup de coeur ❤ pour ce roman de Dominique Convard de Prolles”

Voilà ce que j’aime dans la science-fiction et le fantastique : placer l’extraordinaire dans la banalité et user d’extrapolations pour retranscrire notre réalité, nos problèmes sociétaux et mes propres réflexions sur ce qui engendre et malmène le contemporain.

Merci à Elise Legaillard. Je vous invite à la suivre également dans ses pérégrinations littéraires par sa page Instagram.

Mon roman est actuellement lisible au format numérique (un édition papier est en cours de travail). Vous trouverez les liens vers les distributeurs partenaires sur cette page, ainsi que le premier chapitre sur cette autre page.

N’hésitez pas à commenter, à partager sur les réseaux sociaux et à “liker”.

Au plaisir de vous revoir au prochain post.

La première critique officielle

 

EDEN

 

2105, Paris. La ville reconstruite, éden ultra-moderne et paisible, offre à ses habitants une vie abondante et sous haute-sécurité. Tout ce qui devrait suffire à Adam Evanoé pour être heureux. S’il se contente des apparences… Car même au Paradis, les apparences s’effritent sous le poids des secrets.

Disponible depuis le 12 novembre 2018, mon roman vient a eu droit à sa première critique grâce à @lesreveries_de_mademoisellem. Sa critique est lisible ici et je vous invite à suivre Magali dans ses pérégrinations littéraires.

Cette critique date du 08 février 2019 mais je ne reviens dessus qu’aujourd’hui suite à nouvelle idée éditoriale.

© @lesreveries_de_mademoisellem

© @lesreveries_de_mademoisellem

 

Je ne vais pas vous gâcher la lecture de sa critique en vous collant son texte ici, mais je vais plutôt en profiter pour répondre à ses quelques questions cachées.

“Ce que j’ai bien aimé est l’agencement des chapitres de sorte que l’on découvre petit à petit ce qu’est de vivre dans le Paris de 2145…”

Habituellement, je prépare un plan minutieux avant d’écrire un roman. Cette fois-ci, pour mon troisième manuscrit (mais premier édité), j’ai décidé de tracer un plan très grossier de l’histoire et de me laisser guider par mon inspiration. De manière surprenante, les chapitres se sont succédés sans réelle préparation et les titres furent choisis après.

“Pourquoi certaines personnes comme Clémence, la femme d’Adam, semblent détester ce mode de vie pourtant si attrayant ?”

Le traitement des personnages restent pour moi le plus important. Surtout que chacun d’eux peut être une part de moi ou d’un de mes proches. Mais surtout l’histoire humaine nous a souvent appris que l’écrin de vie le plus beau, le plus somptueux, le plus confortable, se révélait bien souvent des cages dorées. Cela se retrouve dans de nombreux écrits célèbres, dépeignant leurs contemporains.

“Et le dénouement final est génial ! Comme un twist final dans les films “

Pour moi, un roman, c’est avant tout une histoire. Une histoire dans sa tête, pour sa tête. Un roman doit donc être rythmé, presque comme un film. D’ailleurs, toutes mes histoires en devenir sont imaginées, déclenchées à partir d’un flash. Cela peut être une image fugace, une séquence qui deviendra le début ou la fin d’un roman ou, au gré d’une réflexion sur notre environnement, une transposition réaliste dans un univers fantastique. D’où ma préférence pour le genre de l’anticipation plutôt que de la science-fiction pure.

Merci à Magali pour ces instants de lecture.

Chose amusante, pour sa photo Instagram, elle a réussi à trouver la première version de la couverture. Le web ne perd vraiment rien.

Mon roman est actuellement lisible au format numérique (un édition papier est en cours de travail). Vous trouverez les liens vers les distributeurs partenaires sur cette page, ainsi que le premier chapitre sur cette autre page.

N’hésitez pas à commenter, à partager sur les réseaux sociaux et à “liker”.

Au plaisir de vous revoir au prochain post.