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Les Rebelles sont présents !

REBELLES

Dans un pays sous tensions politiques, de l’ambitieux politicien au jeune photographe, chacun tente de sortir de la masse contestataire et d’avoir sa part du gâteau. Mais les institutions ont aussi leurs gardiens, bien déterminés à ce que la république ne vacille pas. Jusqu’au jour où des faits étranges balaient les certitudes et redistribuent les cartes.

Mon dernier roman est disponible depuis le 3 avril et ce n’est pas un mais deux livres qui vous attendent.

Pour un total de 1224 pages, l’histoire raconte comment certains se battent pour changer un monde injuste, pendant que d’autres s’échinent à maintenir un système satisfaisant. Bien sûr, l’injustice et la satisfaction sont des sentiments propres à chacun, selon ses idéaux, ses réussites et ses déceptions. Ainsi, chaque personnage de cette grande Histoire en marche cherchera au milieu des troubles les opportunités qui siéront à sa vision du monde futur.

L’histoire débute avec un jeune blogueur décidé à participer au grand évènement de sa génération, qui sera malgré lui témoin d’un fait étrange. En découlera le meurtre d’une jeune militante et l’enquête si particulière par plusieurs services gouvernementaux ou étrangers.

Actuellement soumis auprès de six blogueuses pour critiquer et chroniquer cette nouvelle publication, j’attends avec impatience leurs avis. Et il va m’en falloir de la patience surtout en considérant le volume à lire. Bien sûr, toute autre personne médiatique qui souhaiterait un SP peut me contacter facilement.

Qui dit publication ,dit aussi vente. Comme toujours, ces deux livres sont disponibles en commande auprès de votre libraire. Sinon vous trouverez facilement les revendeurs sur cette page, ainsi que le premier chapitre sur cette autre page.

En attendant, bonne lecture.

2023 : La reprise d’activité ?

Bonjour à tous

Pour commencer, et avec beaucoup de retard, bonne année à tous !

L’année à venir sera pour moi une période intense et dense, tant par les projets à réaliser ou les tâches à effectuer, que par le temps que chacun me prendra.

Après trois années particulières pour nous tous, je dois bien avouer que je n’ai pas été très productif. Cette période dite du Covid m’a rendu procrastineur, voire démotivé. Alors certes, ceux qui me suivent sur les réseaux sociaux comme Instagram ou LinkedIn savent que je n’ai été totalement improductif. Toutefois, malgré le bilan de l’année 2022 riche de travail “invisible” et la quantité de projets et de tâches en attente d’être terminés ou repoussés sans limite depuis trois ans m’obligent à prendre mon courage à deux mains et mettre les bouchées triples afin d’épuiser cette longue liste.

Romans :

Pour commencer, je vais publier mon 3e roman : Rebelles

Écrit entre 2005 et 2008, ce roman a eut droit à une relecture complète, une correction plus aboutie et quelques modifications bienvenues. Ce travail de retouches s’est étalé sur deux ans, entrecoupé par la création des deux couvertures (avec #SketchUp, #InkScape et #Gimp). Il sera publié très prochainement, toujours sous format papier et en commande auprès de votre libraire préféré, ou en livre numérique sur les plateformes dédiées (dont celle de votre libraire préféré, renseignez-vous).

Ensuite, je m’attèlerai à la préparation des deux prochains romans : un polar mystique et une dystopie fantastique.

Ludophilie et Aides de jeu

Cela fait un moment aussi que je n’avais rien publié sur le sujet. Trois ans, c’est long.

Première étape : revoir et relire toutes les aides publiées jusqu’à maintenant. Il semblerait que quelques coquilles traînent par-ci par-là et beaucoup sont encore signées “Le Nain Braillard”, mon ancien pseudo dans ce domaine qui a disparu depuis 2018.

Deuxième étape : écrire et publier des aides de jeu pour tous les jeux qui sont venus nourrir ma ludothèque au cours des trois années écoulées. Cela doit bien faire une trentaine de jeux, plus les mises à jour des précédentes publications en raison de l’apport de nouvelles extensions. En vrac : Museum; Rallyman Dirt; Carnegie; Paladins du Royaume de l’Ouest…

Figurinisme :

Figurines de Descent V2, sous-couchées depuis 2016

Avec les jeux de société viennent aussi des figurines.

Entre celles qui sont sous-couchées et attendent depuis 2016 dans un placard, et les nombreuses boîtes arrivées entretemps, la “pile de la honte” s’allonge sans fin. Je dois bien avoir un total proche du millier de figurines à peindre.

Dans l’ordre présumée d’exécution :

  • Museum (Holy Grail Games)
  • Vikings 868 (Asyncron)
  • Descent, Voyage dans les ténèbres 2e édition (FFG / Edge)
  • Tokaido (Funforge)
  • V-Sabotage (Triton Noir)
  • Assassins Creed : Brotherhood of Venice (Triton Noir)
  • Rallyman GT (Holy Grail Games)
  • Rallyman Dirt (Holy Grail Games)

Graphisme :

En plus de tous les articles qui traiteront les sujets précédents, je publierai les processus créatifs des couvertures du roman Rebelles.

Zone de vie du croiseur Sigmi’u Ruhe

Ainsi comme vous pouvez le voir, beaucoup de travail m’attendent et beaucoup d’articles et de photos seront publiés dans les mois à venir. Tant de choses que j’espère partager avec vous le plus rapidement possible et, surtout, avec le plaisir de lire vos commentaires.

Pour patienter, je vous souhaite d’avoir une année bien pleine de bonheur et de satisfaction. A très bientôt.

Réaliste, riche et profond

COQS

 

Un gendarme, père de famille, a failli tout perdre lors d’une seule et effroyable nuit. Son ami journaliste, sans employeur et esseulé, cherche sa rédemption. Au gré des tourments de leurs mondes, se tracent réflexions, jugements et résignations…

Après une première occasion transformée, j’ai recontacté Evasions Littéraires sur le site Simplement Pro, qui permet de mettre en relation des auteurs et des éditeurs avec des lecteurs et critiques.

Elle a accepté d’inclure mon roman COQS dans sa PAL (sa Pile À Lire). L’intégralité de sa critique est à découvrir ici. Mais qu’en a-t-elle pensé ?

© Evasions Littéraires

“L’auteur nous propose ici un roman complexe et riche, qui n’a rien d’une lecture légère pour les vacances. Ici votre cerveau sera mis en action et son roman vous poussera à vous poser de nombreuses questions, amenant à des réflexions très intéressantes sur notre monde, notre société et notre quotidien de manière générale.”

Je dois bien avouer que je ne cherchais pas à proposer un ensemble complexe, mais cette histoire contemporaine se nourrit des détails qui se cachent sous les apparences.

“Sur fond de catastrophe naturelle qui va être au coeur de la vie de plusieurs personnages, l’auteur va nous lancer dans des réflexions politiques et sociétales étonnantes et profondes… l’auteur nous emmène au coeur d’une société qui fait peur et qui part clairement à la dérive.”

Né dans l’euphorie médiatique de la télé-réalité et du politique-fiction, je voulais marquer le lecteur entre le réel et la fiction, entre la vie quotidienne et les médias et entre les citoyens et les politiciens. Et bien au-delà, amener le lecteur à réfléchir, puis à briser cette première réflexion née de ses a-prioris.

Merci encore à Yumiko pour cette critique intelligente.

Un Coup de Coeur et un téléroman

EDEN & COQS

Avec la sortie de ma dernière publication, Coqs, qui a eu lieu le 25 mai dernier, je suis reparti à la chasse aux critiques afin de faire parler de ce roman. J’en ai profité pour proposer également mon précédent roman, Eden, publié fin 2018, afin de relancer un peu les ventes (une dizaine à ce jour).

Au cours de cette quête de critiques, de blogueurs et d’influenceurs, je suis entré en contact avec les lectrices du blog franco-québécois Les Milles et Une Pages LM et Lynda Massicotte fut enthousiaste de proposer ces deux romans à son groupe de lecteurs. Et c’est Martine Levesque qui partage ses impressions.

EDEN (2018) : Coup de Coeur à la conclusion extraordinaire

Lire la critique de @LesMillesEtUnePages

“Un excellent roman de science-fiction, dans lequel je me suis immergé, sans aucune retenue. La plume de Dominique Convard de Prolles est géniale, on plonge dans un récit qui nous rend difficile de lever les yeux de ses pages.
Adam et sa fille Bénédicte vivent dans une ville dite moderne, dans un contexte en haute sécurité où tout est surveillé et protégé, même leur maison donne l’aspect d’une forteresse. On plonge dans un Paris dans le futur, avec une communauté d’individus surprotégés de tout, rien ne peut les attaquer, tout est impénétrable, une fortification. Les habitants ont une vie réglée par des alarmes, des interdictions, des avertissements, une nouvelle dynamique de vie. Entre les couvre-feux, les sas de décontamination, tout est géré et programmé. Tandis que dans la vie d’Adam Evanoe, la perte d’un ami va tout chambouler sa vie qu’il croyait bien réglée et dosée, mais tout sera remis en cause. Que se passe-t-il à l’extérieur de “la nouvelle Paris” ?
C’est un roman très bien écrit qui met en scène des personnages marquants et attachants. La finale est fantastique, j’ai été conquise par une intrigue envoûtante, et enivrante qui nous amène tout au long des pages à une conclusion extraordinaire. “

COQS (2020) : Bien écrit et facile à lire

Lire la critique de @LesMillesEtUnePages

“Un roman qui met en scène une dynamique familiale qui doit se reconstruire et se solidifier après avoir traversé une épreuve difficile. Tout en suivant un journaliste qui doit cheminer vers le pardon, ce roman met en perspective les réflexions existentielles de tous les personnages face à sa place, ses attentes, ses désirs, ses besoins comme être humain. C’est un casse-tête, tout au long de la lecture, les mots que choisis Dominique Convard de Prolles, viennent toucher le lecteur et l’amène à poser une réflexion quant aux décisions que vont prendre les personnages. Le bouleversement de leur vie, va-t-il être une malédiction ou une bénédiction ?
Un roman bien écrit. Facile à lire, des personnages attachants et des intrigues qui maintiennent le lecteur tout au long des chapitres et du dénouement qui ne vient qu’à la fin et qui peut surprendre certains. J’ai bien aimé ma lecture, j’ai quelquefois eu l’impression que je suivais un téléroman, tellement puisque j’arrivais à m’imaginer les situations en images. J’aime quand un auteur arrive à créer des situations qui retournent les méninges, si c’est ce que vous cherchez, lisez COQS.”
Merci à Martine, Lynda et toute l’équipe de Mille et Une Pages LM.

Diffuser les Coqs

COQS

Quand on décide de faire de l’autoédition, il faut savoir réduire les coûts au maximum. Et pour cela, quoi de mieux que de tout faire soi-même.

Coqs est un roman contemporain sur les médias et la politique que j’ai écrit entre 2003 et 2005. Après une relecture et quelques modifications, il est publié fin mai 2020, soit après le confinement lié au Covid19.

Dès 2005, une couverture a été créée à l’aide d’une tablette graphique basique, une Wacom Graphire 3 (Sapphire CTE 430b), et le logiciel de dessins fourni avec, Procreate Painter Classic (aujourd’hui connu sous le nom de Corel Painter Essentials). Donc comme vous pouvez le comprendre, à cette époque j’ai utilisé du matériel informatique très simple et basic. Mais avec de la volonté, des exemples photographiques et du temps, j’ai réalisé un dessin à propos et très proche de ce que j’avais imaginé.

Le souci avec un programme basic comme Painter est qu’il s’agit d’un logiciel de dessin bitmap où le moindre coup de crayon ne peut être rattrapé par la suite. C’est un équivalent au dessin à main levée, contrairement au dessin vectoriel qui fonctionne sur un principe de formes et de courbes manipulables. De plus, il n’existe pas de fonction Calques, donc pas de superposition de dessin. Tout est direct et sans modification au détail. Il me fallait donc réussir chaque coup de crayon ou chaque coup de pinceau avant de passer au coup suivant.

La couverture originale

Avec la reprise en main du roman, est venu celle de la couverture sous les outils de Gimp. Avec Eden, j’ai fait un choix éditorial pour toutes mes couvertures de roman simpliste et efficace visuellement : une image dans un cadre blanc. Une première version est produite avec le simple ajout et recadrage du dessin de 2005 en insert. Pour couvrir correctement l’intérieur du cadre, les poulets ont pris un peu volume.

La première version pour l’édition 2020

Toutefois ma relectrice et correctrice de Coqs me soutient que ce visuel ne reflète pas le sujet principal du roman : les médias. Après une première frustration contenue et une nuit de repos, je tente de comprendre le sens de son conseil et je m’attèle sous Gimp pour produire une imagerie plus médiatique. L’idée me vient rapidement d’insérer mes coqs d’origine dans un téléviseur ancien, puis dans deux téléviseurs de générations différentes. Le dessin d’origine est découpée et plusieurs couches d’images retravaillées en mode crayonné sont intégrées. L’association fonctionne bien et, au fur et à mesure du processus créatif, je saisis davantage la valeur du conseil donné. Plusieurs brouillons avec des fonds différents sont créés et soumis aux votes sur les réseaux sociaux.

Après l’élection d’un fond bleu-canard estompé, un dernier test avec le coq dans le vieux téléviseur soit en couleurs, soit en noir et blanc.

Beaucoup ont apprécié le coq en noir et blanc. Cela a été adopté et envoyé sous presse.

J’espère que vous avez eu plaisir à lire cet article. N’hésitez pas à commenter, à partager sur les réseaux sociaux et à “liker”.

Au plaisir de vous revoir pour le prochain post.

PS : pour le curieux, mon roman est à la vente et vous pouvez lire le premier chapitre.

Ma seconde publication est disponible.

COQS

“Tu es en train de retourner de la merde. Des politiciens qui gardent la main mise sur l’opinion publique et sa liberté de choix et de pensées. Ou peut-être une magouille entre politiciens et entrepreneurs. Entre politiciens et médias. Peut-être as-tu juste en face de toi une escroquerie télévisuelle ayant touché les gens en masse. Ou alors n’as-tu finalement devant toi que des circonstances qui s’ajoutent les unes aux autres, alors qu’en fait rien ne les lie et qu’aucun crime n’a été commis. Que depuis le début tu te fourvoies dans ta propre réflexion et que chaque nouveau détail vient compléter un puzzle que tu inventes de toutes pièces.”

Un gendarme, père de famille, a failli tout perdre lors d’une seule et effroyable nuit. Son ami journaliste, sans employeur et esseulé, cherche sa rédemption. Au gré des tourments de leurs mondes, se tracent réflexions, jugements et résignations…

Après des années dans un tiroir, un de mes premiers romans vient d’être publié, toujours en auto-édition.

Ce roman avait été écrit entre 2003 et 2005 et n’avait pas trouvé preneur auprès des éditeurs conventionnels. Un professionnel l’avait lu rapidement, déclarant du potentiel. Puis en 2019, une lectrice test (qui deviendra la correctrice) insiste sur sa qualité et pour sa publication. Sur ses conseils et malgré mes réticences (un roman mal aimé ?), je revois la copie, modifie quelques chapitres et crée la couverture. Je projette de publier le roman fin mars 2020.

Toutefois le confinement lié au COVID19 et l’arrêt de toute activité littéraire et commerciale pendant plusieurs mois m’obligent à repousser la date de sortie du roman. Finalement je me permets de lancer la publication et une première campagne publicitaire le 25 mai 2020.

À ce jour, cinq blogueuses et blogueurs ont obtenu un exemplaire pour partager leur avis.

Contrairement à Eden, je n’ai pas fait la même erreur et le livre est disponible en format broché en même temps que le format numérique. Vous pouvez d’ailleurs lire le premier chapitre sur cette page et commander un exemplaire via cette autre page.

Au fil des critiques, il m’arrivera de répondre à des questions en suspens.

En attendant, bonne lecture.

Une couverture pour le Paradis

EDEN

Quand on décide de faire de l’autoédition, il faut savoir réduire les coûts au maximum. Et pour cela, quoi de mieux que de tout faire soi-même.

Dès l’écriture de mon roman Eden en 2015, j’ai déjà dans l’idée de faire une couverture à contre-courant de ce que le lecteur trouvera dans les quelques lignes apocalyptiques et tristes. Sans entrer dans les détails, le chaland doit être attiré par une image très propre et moderne.

Une fois le roman terminé au printemps 2016, je prends très rapidement mes crayons et commence à dessiner les trais grossiers d’une vue frontale sur une ville érigée de tours resplendissantes. L’idée est de produire l’équivalent d’un visuel de communication architecturale. Toutefois, après quelques centaines de coups de graphite noir, je ne me sens pas à l’aise avec le résultat griffonné. Je comprends que la répétition des lignes nécessite un travail plus industrialisé et l’outil informatique est la solution. Oui, mais lequel ?

Comme vous pouvez le voir dans des articles précédents, j’ai déjà bien tâté de la retouche photo et du photo-montage en utilisant Gimp. Mais cela ne suffira pas et je dois me résoudre à la conception 3D. Et là, bien m’en a pris. Après une recherche sur internet, je découvre SketchUp, un logiciel 3D dont le minima gratuit est déjà bien supérieur en fonctions à ce dont j’avais besoin.

Grâce à quelques congés, je prends une semaine pour concevoir pour de bon cette couverture. Après une journée de tâtonnement sur le logiciel, le lendemain je commence à produire une première étape. Un étage est assemblé, sans entrer dans les détail car tous les éléments ne seront pas visibles. Mais très vite je comprends une chose : il va falloir remplir toutes ces pièces exposées à la lumière et à la vue. Et il y en a une dizaine par étages, multiplier par vingt étages au moins, multiplier encore par je ne savais combien de tours.

Après une journée passée à chercher du mobilier modélisé, je comprends très vite que je vais passer ma semaine à remplir les appartements. De plus, je comprends très vite aussi que la quantité de réglages possibles pour gérer le rendu des surfaces consommera beaucoup de ce temps libre qui ne l’est pas. J’opte donc pour une solution radicale : la retouche photo.

Oui, de la 3D à la retouche photo. Et pour cela je vais user d’un stratagème simple inspiré des fameux fonds bleus puis verts des trucages visuels au cinéma. Ainsi toutes les surfaces auront une couleur spécifique unie et bien particulière. Le travail se fera ensuite sous Gimp. En conséquence, le travail se fait plus vite.

Un étage est définitivement prêt. Les étages s’empilent sur une base réduite. Un dernier étage est rempli de turbines et le toit est couvert de miroirs (je vous laisse lire le roman pour en connaître la raison). Puis les tours sont dupliquées et réparties en rang. Un métro aérien se glisse entre les habitations. Et comme toute belle présentation architectural et grâce aux compléments de SketchUp, j’ajoute des arbres et de la population.

Je construis ainsi ma conception 3D comme un décor de cinéma, ne remplissant que ce qui est visible, ne travaillant que ce qui est nécessaire.

Le décor dans son entier.

Le même, vu par dessus.

Après plusieurs choix de mise en lumière et de cadrage, je prends des photographies, corrige la conception 3D, puis sélectionne l’image à retravailler.

L’image avant retouche

Importée dans Gimp, l’image subit des remplissages de dégradés pour remplacer les couleurs criardes et unies. Bleu vers gris pour les façades des tours; blanc vers gris pour les miroirs; des bleus pour le métro et les quais. L’ajout d’un halo franc sur un miroir ajoute une touche de lumière excessive. Un ciel est incrusté pour apporter un peu de réalisme. Et voilà, avec un peu de bric et de broc numérique, l’image finale est prête pour diverses communications.

Je dois bien vous avouer qu’un professionnel de l’imagerie 3D, et encore plus un modéliseur dans un cabinet d’architecture, aurait su obtenir ce même résultat sans passer par l’artifice de la retouche photo. Malheureusement je n’avais pas le temps suffisant pour apprendre et maîtriser toutes les subtilités de SketchUp. Mais il est probable que par le futur je revienne sur SketchUp pour quelques illustrations nécessaires pour Rebelles, un roman en cours de relecture.

Mais revenons à Eden. A la vue de l’image définitive et pendant que le roman est en cours de relecture, je m’offre un premier teasing sur Facebook en produisant sous Power Point un faux flyer.

Les HLM du XXIIème siècle.

Dans la foulée , je m’attèle à la couverture. En dehors du titre et du nom de l’auteur, un premier concept en couleur est produit. Il faudra attendre l’été 2018 et les préparatifs du lancement définitif de mon roman pour que je revienne sur la couverture. Plusieurs concepts sont réalisés : simple, noir&blanc, flou, hachuré. Ci-dessous vous pouvez voir les cinq concepts retenus. Ma préférence allant plutôt pour l’image floutée en couleurs, tandis que ma vision originelle était plus proche du modèle hachuré.

Après un petit sondage auprès des relectrices, des relecteurs et quelques autres âmes, aucune couverture ne semble satisfaire. Le visuel est trop éloigné de que les lecteurs ont ressenti. D’autant plus qu’un avis en particulier exprime le côté “amateur” du visuel. J’en prends note et revois la couverture au complet. D’autant plus que ce nouveau visuel pourrait bien correspondre à ma ligne éditoriale pour l’intégralité de mes publications.

Je fais cette fois le choix d’une couverture blanche barrée d’une illustration. Je calibre donc les zones de texte (titre et nom de l’auteur). J’intègre le faux flyer promotionnel. Je le retravaille pour le rendre plus intriguant. Un test avec du sang, du feu et un dernier avec les deux.

Les tâches de sang ne plaisent pas, voire rebutent. Une nouvelle série est produite, plus sages et moins horrifiques.

Finalement cela est trop sage et un choix intermédiaire s’impose. Après des jours de réflexion, je choisis définitivement la couverture avec le flyer qui brûle.

J’espère que vous avez eu plaisir à lire cet article. N’hésitez pas à commenter, à partager sur les réseaux sociaux et à “liker”.

Au plaisir de vous revoir pour le prochain post.

PS : pour le curieux, mon roman est actuellement lisible au format numérique (un édition papier est en cours de travail). Vous trouverez les liens vers les distributeurs partenaires sur cette page, ainsi que le premier chapitre sur cette autre page.

 

Original, passionnant et frustrant

EDEN

 

2105, Paris. La ville reconstruite, éden ultra-moderne et paisible, offre à ses habitants une vie abondante et sous haute-sécurité. Tout ce qui devrait suffire à Adam Evanoé pour être heureux. S’il se contente des apparences… Car même au Paradis, les apparences s’effritent sous le poids des secrets.

Grace à Christelle Lebailly, auteur du très bon Lula et les Monstres, j’ai découvert le site Simplement Pro qui permet de mettre en relation des auteurs et des éditeurs avec des lecteurs et critiques.

C’est là que j’ai pu contacter Evasions Littéraires, qui a accepté immédiatement d’inclure mon roman dans sa PAL (sa Pile À Lire). L’intégralité de sa critique est à découvrir ici. Mais qu’en a-t-elle pensé ?

Cette critique date du 28 avril 2019 mais je ne reviens dessus qu’aujourd’hui suite à nouvelle idée éditoriale.

© Evasions Littéraires

“Autant dire, qu’il nous offre une histoire très originale avec un univers très bien pensé et avec des rebondissements comme on les aime, de quoi passer un excellent moment aux côtés des personnages qui sont touchants et très attachants.”

Merci de partager un tel ressenti. Cela prouve que j’ai atteint mon objectif : atteindre le lecteur.

“J’ai tellement de questions et tellement envie d’en apprendre davantage! Mais cette frustration caractérise aussi les bons romans… Alors y aura-t-il une suite?”

J’ai écrit ce roman avec une telle légèreté et avec un certain détachement que je n’ai jamais pensé à une suite. Toutefois la demande se répète parmi les critiques et les premiers lecteurs. Pour le moment, je me concentre sur d’autres histoires, mais qui sait après la publication de ses derniers, pourquoi pas.

Merci à Yumiko malgré son immense charge de lecture. Je vous invite à la suivre également dans ses autres pérégrinations littéraires, soit sur son blog, soit sur Facebook, soit sur Twitter.

Mon roman est actuellement lisible au format numérique (un édition papier est en cours de travail). Vous trouverez les liens vers les distributeurs partenaires sur cette page, ainsi que le premier chapitre sur cette autre page.

N’hésitez pas à commenter, à partager sur les réseaux sociaux et à “liker”.

Au plaisir de vous revoir pour le prochain post.

Une superbe découverte

EDEN

 

2105, Paris. La ville reconstruite, éden ultra-moderne et paisible, offre à ses habitants une vie abondante et sous haute-sécurité. Tout ce qui devrait suffire à Adam Evanoé pour être heureux. S’il se contente des apparences… Car même au Paradis, les apparences s’effritent sous le poids des secrets.

Parmi mes nombreux contacts sur Instagram, @les.lectures.du.crepuscule a demandé à lire mon roman. Dix jours plus tard, sa critique n’a pas tardée : fan de dystopie, ce fut pour elle une surprenante et superbe découverte. A lire en intégralité ici.

Cette critique date du 19 avril 2019 mais je ne reviens dessus qu’aujourd’hui suite à nouvelle idée éditoriale.

© Les Lectures du Crépuscule

“Dans ce récit on suit Adam Evanoé ainsi que sa fille Bénédicte dans une ville moderne où tout est contrôlé et sécurisé à tel point que chaque domicile citadin et devenu un bunker.”

“Alors que se cache-t-il au-delà des murs du nouveau Paris ?”

Pour cela, je me permet de ne pas répondre à la question, afin que chacun puisse découvrir mon univers et surtout celui d’Adam Evanoé.

Merci à Mathilde Gross pour m’avoir donné un peu de son temps. Je vous invite à la suivre également dans ses autres pérégrinations littéraires, soit sur son blog, soit sur Instagram, soit sur Twitter.

Mon roman est actuellement lisible au format numérique (un édition papier est en cours de travail). Vous trouverez les liens vers les distributeurs partenaires sur cette page, ainsi que le premier chapitre sur cette autre page.

N’hésitez pas à commenter, à partager sur les réseaux sociaux et à “liker”.

Au plaisir de vous revoir au prochain post.

L’effet Waouh !

EDEN

 

2105, Paris. La ville reconstruite, éden ultra-moderne et paisible, offre à ses habitants une vie abondante et sous haute-sécurité. Tout ce qui devrait suffire à Adam Evanoé pour être heureux. S’il se contente des apparences… Car même au Paradis, les apparences s’effritent sous le poids des secrets.

Je vous invite à lire la critique de @les_livres_de_pauline (en intégralité ici) et à la suivre également dans ses autres pérégrinations littéraires. Cette “bookstagrameuse” a accepté de se pencher sur mon roman d’anticipation, mais a surtout partagé son ressenti.

Cette critique date du 1er mars 2019 mais je ne reviens dessus qu’aujourd’hui suite à nouvelle idée éditoriale.

© @les_livres_de_pauline

“Ce livre nous plonge dans le Paris de 2105, et comment vous dire… WAOUH !

“Petit bémol, j’ai eu un peu de mal au début des deux premiers chapitres, à tout comprendre et visualiser mais une fois dedans, je n’ai pas pu m’arrêter.”

Ça fait plaisir à lire. J’ai fait mon possible pour décrire l’environnement de mon histoire car rien ne vaut une bonne immersion, notamment par la stimulation “visuelle” imaginée par le lecteur. Moi-même je suis friand de détails, grand lecteur un moment de Tom Clancy et de Michael Crichton, mais surtout aujourd’hui de romans historiques et de fantaisie.

Merci à Pauline pour son avis excitant.

Mon roman est actuellement lisible au format numérique (un édition papier est en cours de travail). Vous trouverez les liens vers les distributeurs partenaires sur cette page, ainsi que le premier chapitre sur cette autre page.

N’hésitez pas à commenter, à partager sur les réseaux sociaux et à “liker”.

Au plaisir de vous revoir au prochain post.