EDEN : La première critique
La première critique officielle
EDEN
2105, Paris. La ville reconstruite, éden ultra-moderne et paisible, offre à ses habitants une vie abondante et sous haute-sécurité. Tout ce qui devrait suffire à Adam Evanoé pour être heureux. S’il se contente des apparences… Car même au Paradis, les apparences s’effritent sous le poids des secrets.
Disponible depuis le 12 novembre 2018, mon roman vient a eu droit à sa première critique grâce à @lesreveries_de_mademoisellem. Sa critique est lisible ici et je vous invite à suivre Magali dans ses pérégrinations littéraires.
Cette critique date du 08 février 2019 mais je ne reviens dessus qu’aujourd’hui suite à nouvelle idée éditoriale.
Je ne vais pas vous gâcher la lecture de sa critique en vous collant son texte ici, mais je vais plutôt en profiter pour répondre à ses quelques questions cachées.
“Ce que j’ai bien aimé est l’agencement des chapitres de sorte que l’on découvre petit à petit ce qu’est de vivre dans le Paris de 2145…”
Habituellement, je prépare un plan minutieux avant d’écrire un roman. Cette fois-ci, pour mon troisième manuscrit (mais premier édité), j’ai décidé de tracer un plan très grossier de l’histoire et de me laisser guider par mon inspiration. De manière surprenante, les chapitres se sont succédés sans réelle préparation et les titres furent choisis après.
“Pourquoi certaines personnes comme Clémence, la femme d’Adam, semblent détester ce mode de vie pourtant si attrayant ?”
Le traitement des personnages restent pour moi le plus important. Surtout que chacun d’eux peut être une part de moi ou d’un de mes proches. Mais surtout l’histoire humaine nous a souvent appris que l’écrin de vie le plus beau, le plus somptueux, le plus confortable, se révélait bien souvent des cages dorées. Cela se retrouve dans de nombreux écrits célèbres, dépeignant leurs contemporains.
“Et le dénouement final est génial ! Comme un twist final dans les films “
Pour moi, un roman, c’est avant tout une histoire. Une histoire dans sa tête, pour sa tête. Un roman doit donc être rythmé, presque comme un film. D’ailleurs, toutes mes histoires en devenir sont imaginées, déclenchées à partir d’un flash. Cela peut être une image fugace, une séquence qui deviendra le début ou la fin d’un roman ou, au gré d’une réflexion sur notre environnement, une transposition réaliste dans un univers fantastique. D’où ma préférence pour le genre de l’anticipation plutôt que de la science-fiction pure.
Merci à Magali pour ces instants de lecture.
Chose amusante, pour sa photo Instagram, elle a réussi à trouver la première version de la couverture. Le web ne perd vraiment rien.
Mon roman est actuellement lisible au format numérique (un édition papier est en cours de travail). Vous trouverez les liens vers les distributeurs partenaires sur cette page, ainsi que le premier chapitre sur cette autre page.
N’hésitez pas à commenter, à partager sur les réseaux sociaux et à “liker”.
Au plaisir de vous revoir au prochain post.
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