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2023 : le bilan d’une année charnière

Bonjour à tous

Pour commencer, et avec un peu de retard, bonne année à tous !

Voici le bilan de mon année 2023.
Alors que la plupart communique ce bilan dans les derniers jours de décembre, j’ai décidé d’attendre les dernières statistiques de ventes pour m’exprimer.

ROMANS

Dès le début de l’année était programmée la publication de mon roman REBELLES en deux parties plutôt conséquentes. Prévue en mars, quelques soucis chez mon prestataire pour l’impression à la demande m’ont obligé à communiquer officiellement qu’en avril, pour avoir une fiabilité de distribution qu’à partir de juin.

Cela a finalement coïncidé avec deux autres faits : les premières critiques, bonnes voire très bonnes (merci à toutes les blogueuses et blogueurs qui ont bien voulu lire ce monstre), et la première présence en boutique grâce au BHV-Le Marais (merci à Pascal et ses libraires).
Pendant l’été puis l’automne, d’autres très bonnes critiques sont tombées, puis mes romans ont été disponibles les derniers jours de décembre chez Gibert Joseph Paris (merci Mélanie) et FNAC Parly 2 (merci Gabriel).

Du côté des ventes, sur le dernier trimestre, j’ai vendu 10 exemplaires de Rebelles 1re Partie, 4 Rebelles 2e partie et 6 Eden.
Pour toute l’année 2023, j’ai vendu 17 Rebelles 1re Partie (dont 1 eBook), 11 Rebelles 2e partie (dont 1 eBook), 9 Eden et 3 Coqs.
En prenant en considération une médiatisation quasi inexistante, selon certains libraires, c’est une statistique honorable. Bien sûr, en tant qu’auteur, j’aurais préféré en vendre plus, me faire connaître davantage et multiplier les partenaires (chroniqueurs et libraires).

GRAPHISME

Toute l’activité s’étant concentrée sur le roman Rebelles. Les seules productions graphiques (GIMP; SketchUp; Inkscape; iMovie) furent les couvertures des deux livres et une vidéo promotionnelle.

LUDOPHILIE ET FIGURINISME

Bien que je joue régulièrement, toutes les travaux liés aux jeux de société sont à l’arrêt complet. J’accumule les retards.

Et c’est là que l’année 2024 devra être plus productive. Mais je vous en parlerai dans un prochain post.

Et vous, avez-vous réussi votre année 2023 ?

A très bientôt.

2023 : La reprise d’activité ?

Bonjour à tous

Pour commencer, et avec beaucoup de retard, bonne année à tous !

L’année à venir sera pour moi une période intense et dense, tant par les projets à réaliser ou les tâches à effectuer, que par le temps que chacun me prendra.

Après trois années particulières pour nous tous, je dois bien avouer que je n’ai pas été très productif. Cette période dite du Covid m’a rendu procrastineur, voire démotivé. Alors certes, ceux qui me suivent sur les réseaux sociaux comme Instagram ou LinkedIn savent que je n’ai été totalement improductif. Toutefois, malgré le bilan de l’année 2022 riche de travail “invisible” et la quantité de projets et de tâches en attente d’être terminés ou repoussés sans limite depuis trois ans m’obligent à prendre mon courage à deux mains et mettre les bouchées triples afin d’épuiser cette longue liste.

Romans :

Pour commencer, je vais publier mon 3e roman : Rebelles

Écrit entre 2005 et 2008, ce roman a eut droit à une relecture complète, une correction plus aboutie et quelques modifications bienvenues. Ce travail de retouches s’est étalé sur deux ans, entrecoupé par la création des deux couvertures (avec #SketchUp, #InkScape et #Gimp). Il sera publié très prochainement, toujours sous format papier et en commande auprès de votre libraire préféré, ou en livre numérique sur les plateformes dédiées (dont celle de votre libraire préféré, renseignez-vous).

Ensuite, je m’attèlerai à la préparation des deux prochains romans : un polar mystique et une dystopie fantastique.

Ludophilie et Aides de jeu

Cela fait un moment aussi que je n’avais rien publié sur le sujet. Trois ans, c’est long.

Première étape : revoir et relire toutes les aides publiées jusqu’à maintenant. Il semblerait que quelques coquilles traînent par-ci par-là et beaucoup sont encore signées “Le Nain Braillard”, mon ancien pseudo dans ce domaine qui a disparu depuis 2018.

Deuxième étape : écrire et publier des aides de jeu pour tous les jeux qui sont venus nourrir ma ludothèque au cours des trois années écoulées. Cela doit bien faire une trentaine de jeux, plus les mises à jour des précédentes publications en raison de l’apport de nouvelles extensions. En vrac : Museum; Rallyman Dirt; Carnegie; Paladins du Royaume de l’Ouest…

Figurinisme :

Figurines de Descent V2, sous-couchées depuis 2016

Avec les jeux de société viennent aussi des figurines.

Entre celles qui sont sous-couchées et attendent depuis 2016 dans un placard, et les nombreuses boîtes arrivées entretemps, la “pile de la honte” s’allonge sans fin. Je dois bien avoir un total proche du millier de figurines à peindre.

Dans l’ordre présumée d’exécution :

  • Museum (Holy Grail Games)
  • Vikings 868 (Asyncron)
  • Descent, Voyage dans les ténèbres 2e édition (FFG / Edge)
  • Tokaido (Funforge)
  • V-Sabotage (Triton Noir)
  • Assassins Creed : Brotherhood of Venice (Triton Noir)
  • Rallyman GT (Holy Grail Games)
  • Rallyman Dirt (Holy Grail Games)

Graphisme :

En plus de tous les articles qui traiteront les sujets précédents, je publierai les processus créatifs des couvertures du roman Rebelles.

Zone de vie du croiseur Sigmi’u Ruhe

Ainsi comme vous pouvez le voir, beaucoup de travail m’attendent et beaucoup d’articles et de photos seront publiés dans les mois à venir. Tant de choses que j’espère partager avec vous le plus rapidement possible et, surtout, avec le plaisir de lire vos commentaires.

Pour patienter, je vous souhaite d’avoir une année bien pleine de bonheur et de satisfaction. A très bientôt.

Diffuser les Coqs

COQS

Quand on décide de faire de l’autoédition, il faut savoir réduire les coûts au maximum. Et pour cela, quoi de mieux que de tout faire soi-même.

Coqs est un roman contemporain sur les médias et la politique que j’ai écrit entre 2003 et 2005. Après une relecture et quelques modifications, il est publié fin mai 2020, soit après le confinement lié au Covid19.

Dès 2005, une couverture a été créée à l’aide d’une tablette graphique basique, une Wacom Graphire 3 (Sapphire CTE 430b), et le logiciel de dessins fourni avec, Procreate Painter Classic (aujourd’hui connu sous le nom de Corel Painter Essentials). Donc comme vous pouvez le comprendre, à cette époque j’ai utilisé du matériel informatique très simple et basic. Mais avec de la volonté, des exemples photographiques et du temps, j’ai réalisé un dessin à propos et très proche de ce que j’avais imaginé.

Le souci avec un programme basic comme Painter est qu’il s’agit d’un logiciel de dessin bitmap où le moindre coup de crayon ne peut être rattrapé par la suite. C’est un équivalent au dessin à main levée, contrairement au dessin vectoriel qui fonctionne sur un principe de formes et de courbes manipulables. De plus, il n’existe pas de fonction Calques, donc pas de superposition de dessin. Tout est direct et sans modification au détail. Il me fallait donc réussir chaque coup de crayon ou chaque coup de pinceau avant de passer au coup suivant.

La couverture originale

Avec la reprise en main du roman, est venu celle de la couverture sous les outils de Gimp. Avec Eden, j’ai fait un choix éditorial pour toutes mes couvertures de roman simpliste et efficace visuellement : une image dans un cadre blanc. Une première version est produite avec le simple ajout et recadrage du dessin de 2005 en insert. Pour couvrir correctement l’intérieur du cadre, les poulets ont pris un peu volume.

La première version pour l’édition 2020

Toutefois ma relectrice et correctrice de Coqs me soutient que ce visuel ne reflète pas le sujet principal du roman : les médias. Après une première frustration contenue et une nuit de repos, je tente de comprendre le sens de son conseil et je m’attèle sous Gimp pour produire une imagerie plus médiatique. L’idée me vient rapidement d’insérer mes coqs d’origine dans un téléviseur ancien, puis dans deux téléviseurs de générations différentes. Le dessin d’origine est découpée et plusieurs couches d’images retravaillées en mode crayonné sont intégrées. L’association fonctionne bien et, au fur et à mesure du processus créatif, je saisis davantage la valeur du conseil donné. Plusieurs brouillons avec des fonds différents sont créés et soumis aux votes sur les réseaux sociaux.

Après l’élection d’un fond bleu-canard estompé, un dernier test avec le coq dans le vieux téléviseur soit en couleurs, soit en noir et blanc.

Beaucoup ont apprécié le coq en noir et blanc. Cela a été adopté et envoyé sous presse.

J’espère que vous avez eu plaisir à lire cet article. N’hésitez pas à commenter, à partager sur les réseaux sociaux et à “liker”.

Au plaisir de vous revoir pour le prochain post.

PS : pour le curieux, mon roman est à la vente et vous pouvez lire le premier chapitre.

Un plan d’enfer

EDEN

Pour mon roman Éden, il m’a fallu quelques préparatifs autres que le plan narratif. Contrairement à d’autres romans écrits des années plus tôt, je n’avais fait aucun croquis, aucun schéma, aucun dessin préparatoire, quand d’autres sont plein d’engins et de bâtiments. Au début, les choses étaient simples pour moi.

Toutefois, il a fallu rapidement se rendre à l’évidence : il manquait un plan de Paris, afin de pouvoir situer chaque action et chaque personnage.

J’ai donc usé de Gimp pour assembler, détailler et colorer un Paris dystopique.

En commençant par un calque d’un plan de la Forêt de Saint-Germain-en-Laye, j’ai divisé la carte en différents secteurs. Puis, j’ai tracé les rues et les monorails, et nommé les différentes stations. Enfin, j’ai utilisé des ombres et rehauts pour accentuer l’ensemble.

Quelques annotations pseudo légales parcourent le plan fictif d’une touche de réalisme. Pour finir, j’applique un effet froissé plutôt sympathique à mes yeux.

Les multiples calques qui composent ce plan imaginaire.

 

Première version de 2015

 

Modification tardive de la première version avec un fond blanc.

Finalement, après des années sans l’avoir revu et retravaillé, je trouve le papier jauni inadapté et que l’ensemble manque de netteté. De plus, la RATP venait de changer ses plans, ce qui m’a donné envie de mettre à jour ma carte fictive. Je me remets donc à la tâche peu de temps avant d’écrire cet article.

Je change le fond jauni pour un blanc classique. L’image est agrandie et retrouve son format d’origine. Tous les calques sont toilettés, améliorés en netteté et en contraste. Les noms des stations de monorail sont doublés de blanc. Quelques textes en bordures du plan, dont “Paris”, sont réécrits. Au final, deux versions sont éditées, dont une version “froissée”.

Nouvelle version créée en 2019, plus nette et plus claire.

 

La nouvelle version sous l’effet “froissé”.

J’espère que vous avez eu plaisir à lire cet article. N’hésitez pas à commenter, à partager sur les réseaux sociaux et à “liker”.

Au plaisir de vous revoir pour le prochain post.

PS : pour le curieux, mon roman est actuellement lisible au format numérique (un édition papier est en cours de travail). Vous trouverez les liens vers les distributeurs partenaires sur cette page, ainsi que le premier chapitre sur cette autre page.

Une couverture pour le Paradis

EDEN

Quand on décide de faire de l’autoédition, il faut savoir réduire les coûts au maximum. Et pour cela, quoi de mieux que de tout faire soi-même.

Dès l’écriture de mon roman Eden en 2015, j’ai déjà dans l’idée de faire une couverture à contre-courant de ce que le lecteur trouvera dans les quelques lignes apocalyptiques et tristes. Sans entrer dans les détails, le chaland doit être attiré par une image très propre et moderne.

Une fois le roman terminé au printemps 2016, je prends très rapidement mes crayons et commence à dessiner les trais grossiers d’une vue frontale sur une ville érigée de tours resplendissantes. L’idée est de produire l’équivalent d’un visuel de communication architecturale. Toutefois, après quelques centaines de coups de graphite noir, je ne me sens pas à l’aise avec le résultat griffonné. Je comprends que la répétition des lignes nécessite un travail plus industrialisé et l’outil informatique est la solution. Oui, mais lequel ?

Comme vous pouvez le voir dans des articles précédents, j’ai déjà bien tâté de la retouche photo et du photo-montage en utilisant Gimp. Mais cela ne suffira pas et je dois me résoudre à la conception 3D. Et là, bien m’en a pris. Après une recherche sur internet, je découvre SketchUp, un logiciel 3D dont le minima gratuit est déjà bien supérieur en fonctions à ce dont j’avais besoin.

Grâce à quelques congés, je prends une semaine pour concevoir pour de bon cette couverture. Après une journée de tâtonnement sur le logiciel, le lendemain je commence à produire une première étape. Un étage est assemblé, sans entrer dans les détail car tous les éléments ne seront pas visibles. Mais très vite je comprends une chose : il va falloir remplir toutes ces pièces exposées à la lumière et à la vue. Et il y en a une dizaine par étages, multiplier par vingt étages au moins, multiplier encore par je ne savais combien de tours.

Après une journée passée à chercher du mobilier modélisé, je comprends très vite que je vais passer ma semaine à remplir les appartements. De plus, je comprends très vite aussi que la quantité de réglages possibles pour gérer le rendu des surfaces consommera beaucoup de ce temps libre qui ne l’est pas. J’opte donc pour une solution radicale : la retouche photo.

Oui, de la 3D à la retouche photo. Et pour cela je vais user d’un stratagème simple inspiré des fameux fonds bleus puis verts des trucages visuels au cinéma. Ainsi toutes les surfaces auront une couleur spécifique unie et bien particulière. Le travail se fera ensuite sous Gimp. En conséquence, le travail se fait plus vite.

Un étage est définitivement prêt. Les étages s’empilent sur une base réduite. Un dernier étage est rempli de turbines et le toit est couvert de miroirs (je vous laisse lire le roman pour en connaître la raison). Puis les tours sont dupliquées et réparties en rang. Un métro aérien se glisse entre les habitations. Et comme toute belle présentation architectural et grâce aux compléments de SketchUp, j’ajoute des arbres et de la population.

Je construis ainsi ma conception 3D comme un décor de cinéma, ne remplissant que ce qui est visible, ne travaillant que ce qui est nécessaire.

Le décor dans son entier.

Le même, vu par dessus.

Après plusieurs choix de mise en lumière et de cadrage, je prends des photographies, corrige la conception 3D, puis sélectionne l’image à retravailler.

L’image avant retouche

Importée dans Gimp, l’image subit des remplissages de dégradés pour remplacer les couleurs criardes et unies. Bleu vers gris pour les façades des tours; blanc vers gris pour les miroirs; des bleus pour le métro et les quais. L’ajout d’un halo franc sur un miroir ajoute une touche de lumière excessive. Un ciel est incrusté pour apporter un peu de réalisme. Et voilà, avec un peu de bric et de broc numérique, l’image finale est prête pour diverses communications.

Je dois bien vous avouer qu’un professionnel de l’imagerie 3D, et encore plus un modéliseur dans un cabinet d’architecture, aurait su obtenir ce même résultat sans passer par l’artifice de la retouche photo. Malheureusement je n’avais pas le temps suffisant pour apprendre et maîtriser toutes les subtilités de SketchUp. Mais il est probable que par le futur je revienne sur SketchUp pour quelques illustrations nécessaires pour Rebelles, un roman en cours de relecture.

Mais revenons à Eden. A la vue de l’image définitive et pendant que le roman est en cours de relecture, je m’offre un premier teasing sur Facebook en produisant sous Power Point un faux flyer.

Les HLM du XXIIème siècle.

Dans la foulée , je m’attèle à la couverture. En dehors du titre et du nom de l’auteur, un premier concept en couleur est produit. Il faudra attendre l’été 2018 et les préparatifs du lancement définitif de mon roman pour que je revienne sur la couverture. Plusieurs concepts sont réalisés : simple, noir&blanc, flou, hachuré. Ci-dessous vous pouvez voir les cinq concepts retenus. Ma préférence allant plutôt pour l’image floutée en couleurs, tandis que ma vision originelle était plus proche du modèle hachuré.

Après un petit sondage auprès des relectrices, des relecteurs et quelques autres âmes, aucune couverture ne semble satisfaire. Le visuel est trop éloigné de que les lecteurs ont ressenti. D’autant plus qu’un avis en particulier exprime le côté “amateur” du visuel. J’en prends note et revois la couverture au complet. D’autant plus que ce nouveau visuel pourrait bien correspondre à ma ligne éditoriale pour l’intégralité de mes publications.

Je fais cette fois le choix d’une couverture blanche barrée d’une illustration. Je calibre donc les zones de texte (titre et nom de l’auteur). J’intègre le faux flyer promotionnel. Je le retravaille pour le rendre plus intriguant. Un test avec du sang, du feu et un dernier avec les deux.

Les tâches de sang ne plaisent pas, voire rebutent. Une nouvelle série est produite, plus sages et moins horrifiques.

Finalement cela est trop sage et un choix intermédiaire s’impose. Après des jours de réflexion, je choisis définitivement la couverture avec le flyer qui brûle.

J’espère que vous avez eu plaisir à lire cet article. N’hésitez pas à commenter, à partager sur les réseaux sociaux et à “liker”.

Au plaisir de vous revoir pour le prochain post.

PS : pour le curieux, mon roman est actuellement lisible au format numérique (un édition papier est en cours de travail). Vous trouverez les liens vers les distributeurs partenaires sur cette page, ainsi que le premier chapitre sur cette autre page.

 

Création faîte sous GIMP entre le 17 avril 2015

Xwing_Logo_FRAvec les championnats régionaux qui se profilent, les organisateurs ont besoin de communiquer sur l’évènement, aussi bien d’une manière local à l’aide d’affiches imprimées ou sur les réseaux sociaux.

Aldé, l’un des gentils organisateurs du Championnat Régional d’Ile de France me propose de me charger de ce travail. Il souhaite quelque chose de clair, qui n’omet aucune des factions disponibles pour ce jeu de figurines, et doit toujours être lisible.

Je lui fournit rapidement une ébauche assez aboutie et le premier résultat lui plaît, en plus de convenir. Par la suite, très peu de modifications ont été faîtes et quelques lignes légales ont été ajoutées pour obtenir l’autorisation du distributeur français du jeu pour une large diffusion.

Ci-desssous vous verrez le résultat, mais contrairement à l’habitude, pas d’ébauches intermédiaires.

C’est donc un composite d’éléments divers (logos, textes et photographies). Il y a beaucoup d’ombrages, quelques effets de volume et des effets de halos sur les logos des factions.

Je tiens à remercier notamment Edge et son service presse pour me les avoir fournis, ainsi que le logo “X-Wing le jeu de figurines” en très haute définition.

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En espérant que vous avez aussi apprécié. À bientôt.

 

Créations faîtes sous GIMP entre le 25 et 28 juin 2014 Lire la suite