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Une réflexion éthique et philosophique

EDEN

 

2105, Paris. La ville reconstruite, éden ultra-moderne et paisible, offre à ses habitants une vie abondante et sous haute-sécurité. Tout ce qui devrait suffire à Adam Evanoé pour être heureux. S’il se contente des apparences… Car même au Paradis, les apparences s’effritent sous le poids des secrets.

Après la sympathique critique de @lesreveries_de_mademoisellem, je vous invite à lire celle de @booksta_life.

Cette “bookstagrameuse” a accepté de se pencher sur mon roman d’anticipation et son avis m’a agréablement surpris.

Cette critique date du 24 février 2019 mais je ne reviens dessus qu’aujourd’hui suite à nouvelle idée éditoriale.

“Un excellent roman d’anticipation qui développe une belle réflexion éthique et philosophique tout au long du récit. Coup de coeur ❤ pour ce roman de Dominique Convard de Prolles”

Voilà ce que j’aime dans la science-fiction et le fantastique : placer l’extraordinaire dans la banalité et user d’extrapolations pour retranscrire notre réalité, nos problèmes sociétaux et mes propres réflexions sur ce qui engendre et malmène le contemporain.

Merci à Elise Legaillard. Je vous invite à la suivre également dans ses pérégrinations littéraires par sa page Instagram.

Mon roman est actuellement lisible au format numérique (un édition papier est en cours de travail). Vous trouverez les liens vers les distributeurs partenaires sur cette page, ainsi que le premier chapitre sur cette autre page.

N’hésitez pas à commenter, à partager sur les réseaux sociaux et à “liker”.

Au plaisir de vous revoir au prochain post.

La première critique officielle

 

EDEN

 

2105, Paris. La ville reconstruite, éden ultra-moderne et paisible, offre à ses habitants une vie abondante et sous haute-sécurité. Tout ce qui devrait suffire à Adam Evanoé pour être heureux. S’il se contente des apparences… Car même au Paradis, les apparences s’effritent sous le poids des secrets.

Disponible depuis le 12 novembre 2018, mon roman vient a eu droit à sa première critique grâce à @lesreveries_de_mademoisellem. Sa critique est lisible ici et je vous invite à suivre Magali dans ses pérégrinations littéraires.

Cette critique date du 08 février 2019 mais je ne reviens dessus qu’aujourd’hui suite à nouvelle idée éditoriale.

© @lesreveries_de_mademoisellem

© @lesreveries_de_mademoisellem

 

Je ne vais pas vous gâcher la lecture de sa critique en vous collant son texte ici, mais je vais plutôt en profiter pour répondre à ses quelques questions cachées.

“Ce que j’ai bien aimé est l’agencement des chapitres de sorte que l’on découvre petit à petit ce qu’est de vivre dans le Paris de 2145…”

Habituellement, je prépare un plan minutieux avant d’écrire un roman. Cette fois-ci, pour mon troisième manuscrit (mais premier édité), j’ai décidé de tracer un plan très grossier de l’histoire et de me laisser guider par mon inspiration. De manière surprenante, les chapitres se sont succédés sans réelle préparation et les titres furent choisis après.

“Pourquoi certaines personnes comme Clémence, la femme d’Adam, semblent détester ce mode de vie pourtant si attrayant ?”

Le traitement des personnages restent pour moi le plus important. Surtout que chacun d’eux peut être une part de moi ou d’un de mes proches. Mais surtout l’histoire humaine nous a souvent appris que l’écrin de vie le plus beau, le plus somptueux, le plus confortable, se révélait bien souvent des cages dorées. Cela se retrouve dans de nombreux écrits célèbres, dépeignant leurs contemporains.

“Et le dénouement final est génial ! Comme un twist final dans les films “

Pour moi, un roman, c’est avant tout une histoire. Une histoire dans sa tête, pour sa tête. Un roman doit donc être rythmé, presque comme un film. D’ailleurs, toutes mes histoires en devenir sont imaginées, déclenchées à partir d’un flash. Cela peut être une image fugace, une séquence qui deviendra le début ou la fin d’un roman ou, au gré d’une réflexion sur notre environnement, une transposition réaliste dans un univers fantastique. D’où ma préférence pour le genre de l’anticipation plutôt que de la science-fiction pure.

Merci à Magali pour ces instants de lecture.

Chose amusante, pour sa photo Instagram, elle a réussi à trouver la première version de la couverture. Le web ne perd vraiment rien.

Mon roman est actuellement lisible au format numérique (un édition papier est en cours de travail). Vous trouverez les liens vers les distributeurs partenaires sur cette page, ainsi que le premier chapitre sur cette autre page.

N’hésitez pas à commenter, à partager sur les réseaux sociaux et à “liker”.

Au plaisir de vous revoir au prochain post.

Il est enfin publié !

EDEN

2105, Paris. La ville reconstruite, éden ultra-moderne et paisible, offre à ses habitants une vie abondante et sous haute-sécurité. Tout ce qui devrait suffire à Adam Evanoé pour être heureux. S’il se contente des apparences… Car même au Paradis, les apparences s’effritent sous le poids des secrets.

Après six années de gestation, mon dernier roman est enfin disponible.

Il n’est actuellement lisible qu’au format numérique mais une version papier est prévue. Vous trouverez les liens vers les distributeurs partenaires sur cette page, ainsi que le premier chapitre sur cette autre page.

Pour la petite histoire, j’avais envie d’écrire un roman sur une société qui se bat pour exister, qui résiste pour vivre, qui survit pour ne pas disparaître, depuis un long moment. Cette inspiration m’est venue en écoutant des politiciens, des journalistes et des gens ordinaires comparer leurs existences avec les époques passées, digresser sur les cultures étrangères ou juste parler de leurs voisins différents. J’ai toujours vu ces discours et ces paroles comme un refus de voir et d’accepter un changement inéluctable, une évolution logique de leur société ou de leur écosystème.

Donc rien à voir avec la vague de zombies et de mondes apocalyptiques qui courent depuis une décennie dans les univers romanesques, cinématographiques et ludiques.

Alors pourquoi dans un univers aussi futuriste et aussi policé ? Premièrement parce que je considère que la technologie n’a toujours été qu’un outil pour l’homme, des solutions confortables à des problèmes pratiques, tout au long de l’Histoire. Jamais elle n’a apporté de solutions humanistes à des problèmes éthiques, humains ou sociétiaux.

Au fil des critiques, il m’arrivera de répondre à des questions en suspens.

En attendant, bonne lecture.